Participation à nos sorties

C'est à une heure raisonnable et par beau temps que les 25 marcheurs se sont mis en route, à 9h précise, pour une balade dominicale d'environ 11 km. Nous avons emprunté une petite route très peu fréquentée pour rejoindre un paysage bien plus bucolique fait d'allées, de coteaux et de chemins bordés de fleurs sauvages. Nous sommes passés à côté de carrières souterraines nombreuses dans le secteur (Villegouge, Saint-Germain la Rivière, La Rivière, Saint-Aignan). Cet échauffement terminé, nos guides nous ont conduis jusque devant l'église Saint-Genès de Lugon où Xavier nous a, une fois encore gratifié d'un commentaire commentaire et très précis.

Pour la traditionnelle pause méridienne, faute de temps, l'un des marcheurs à été obligé de nous quitter mais il il a été remplacé par 9 autres convives venus se restaurer et visiter Libourne.
Durant plus de 2 heures, accompagnés par un guide de l'office de tourisme de la ville, ce sont 33 adhérents qui ont été attentifs à la présentation de la célèbre bastide.

Merci à Michelle et ses comparses de nous avoir permis de passer une très agréable et finalement très chaude journée. Merci aussi à notre reporter OSITO pour un reportage où beaucoup de mots sont devenus de magnifiques images.

Saint Jacques était encore avec nous en ce dimanche 28 avril où le soleil a brillé alors que la veille, nous étions en alerte orange. Un petit vent frisquet soufflait de temps en temps mais pas de quoi décourager 41 marcheurs venus en train ou en covoiturage. Guidés par Patrick, Monique et André à la " barre ", nous avons parcouru le sentier du littoral en passant par le port de la Barbotière entièrement consacré à l'ostréiculture puis le port du canal, de Larros, de Gujan, de Meyran, de la Hume, le port ostréicole du Rocher pour enfin arriver au port de La Teste où nous attendaient nos 5 amis venus pour la marche de l'après-midi. Comme d'habitude, nous avons partagé boissons, gâteaux et goûté des huîtres . Nous occupions presque toute l'aire de pique-nique.Il n'était pas toujours facile de se frayer un chemin à travers la végétation riche mais parfois invasive comme l'herbe de la Pampa.

Pas de voiture mais des cyclistes, joggeurs, promeneurs qui voulaient profiter , eux-aussi , d'un dimanche ensoleillé ou d'un dernier jour de vacances scolaires . Sur le bois des cabanes de pêcheurs, nous pouvions parfois apercevoir un barbot, vous connaissez l'emblème de Gujan Mestras , et contre les cabanes, les différents outils du métier comme les collecteurs, les patins, les poches en maillages. Des pinasses et bateaux de pêche aux couleurs vives ainsi que des bateaux de plaisance étaient amarrés aux ports. Parfois, nous déambulions au milieu des constructions nautiques. Une journée de marche, partage et d'attention aux autres comme nous les aimons bien. Et l'occasion de revenir pour lire les panneaux explicatifs et observer faune et flore plus tranquillement. Un grand merci à Monique et Patrick qui se sont très investis en leur temps à l'association de St Jacques et qui nous ont accueillis avec Noé sur leur terre. Annie

Venez découvrir le reportage de René pour avoir une très bonne idée de ce que fut cette journée magnifique.

En ce matin d'octobre, un peu tristounet, 26 participants sont prêts à se mettre en marche, pour suivre Michel sur le parcours qu'il nous a concocté, entre falaise et fleuve. Nous emprunterons, çà et là, le chemin de Saint Jacques sur la voie de Tours (rive droite)
Cette matinée débute par la descente de l'escalier de la Falaise qui permet de relier la partie haute de Gauriac à la route de la Corniche de la Gironde. Nous partons en direction de Bourg-sur-Gironde par cette route pittoresque aussi nommée route fleurie ou route des capitaines. De magnifiques maisons en pierre de taille construites par les anciens marins au long cours côtoient des maisons troglodytes perchées dans la falaise, dont certaines sont encore habitées. Côté estuaire, des petits jardins bien entretenus doivent être, en été, un lieu privilégié pour se prélasser.
Après une remontée de la falaise en empruntant la route (ou un nouvel escalier), et une traversée de vignobles, nous arrivons devant le château Eyquem. Un magnifique panorama s'offre à nos yeux. Ici, la Dordogne et la Garonne se rejoignent pour former l'estuaire de la Gironde, le plus vaste d'Europe, ainsi que le Bec d'Ambès avec son complexe pétrolier. Sur la route du retour, nous passons devant le château de Tayac, et l'église Notre Dame de Bayon-sur-Gironde église romane du XIIème siècle. En 1887 le clocher a té remanié, rehaussé d'une flèche, couronné d'une statue de la vierge à l'enfant, ce qui en fait le point culminant de l'estuaire.

Arrivés à notre point de départ, c'est le moment très apprécié par l'ensemble des participants. Sous un très beau soleil, les pique-niques sortent des véhicules. Brigitte accompagnée de ses quatre petits-enfants sont venus nous rejoindre. Cet après-midi, ils vont marcher avec nous. Enfin, l'âge moyen des marcheurs, va nettement diminuer avec eux !!! et augmenter le nombre de participants.

L'après-midi, en direction de Blaye, nous marchons sur les crêtes à travers des vignobles, pour arriver sur un lieu chargé d'histoire, qui est aujourd'hui devenu un site naturel classé : Le Mugron. L'exploitation très forte des carrières de pierre va effacer toutes traces du passé, et lors de la seconde guerre mondiale la marine allemande en ont fait un dépôt de mines sous-marine. Le déminage a été réalisé en 1990, 132 mines ont été découvertes. Nous descendons, montons, en empruntant des sentiers sinueux et ombragés, " parcours un peu rock'n'roll " comme l'a qualifié Michel. Enfin, nous rattrapons la route de la Corniche au port de Roque-de-Thau. Ce petit port reçoit le ruisseau du Grenet, qui vient se jeter dans l'estuaire et qui est la frontière entre les communes de Gauriac et de Villeneuve. Autrefois port très actif, son activité décline avec l'essor du transport routier. Sur le retour, en bordure de l'estuaire, nous passons devant le " Rocher Blanc ", masse rocheuse, pied de la falaise du Mugron, qui était un point de repère pour les marins. Un peu plus loin, côté falaise, un exemplaire des mines sous-marines est exposée. Puis, dans l'estuaire, on peu voir " un fantôme de l'histoire récente ", un des vestiges de la seconde guerre mondiale, l'épave du Frisco, navire italien plastifié par les allemands.
Enfin, la journée se termine par une remontée de la falaise, par l'escalier de la Vierge.

Levés de bonne heure, ce sont trente marcheurs qui se regroupent sur le parking de l'école Henri Matisse. Ayant vu sur le site notre sortie, Gilles se joint à nous . Il a l'intention de partir sur le chemin et voudrait bien qu'on lui donne des informations. Le soir, il a déjà noté qu'il faut un couvre chef quand le soleil tape, un petit sac à dos avec un en cas lors d'entraînements...et il n'a pas manqué de poser des questions. Sous la houlette de Roland nous marchons à travers la campagne pour rejoindre à midi le lieu du pique-nique où nous attendent Sonia et Jean François.
L'après-midi, Chantal habitante de Les Peintures et passionnée par l'histoire de son village aux 1622 âmes, en 2019, nous conduit à travers rues devant la mairie, l'église St Vincent, un ancien site gallo romain restauré et sa très ancienne fontaine,

le travail à ferrer et le four à pain, la Maison des Chants où vécut Henri Sauguet. Et lorsque les athlètes randonneurs poursuivent leur chemin et passent devant les ânes et les lamas, ceux-ci sont en admiration devant tant de détermination! Nous arrivons devant l'ancien embarcadère du bac de Sablon qui reliait le bourg à Lagorce. La Dronne coule au pied du vieux moulin détruit en 1933 par un incendie. Ce sous-affluent de la Dordogne par l'Isle, long de 200km, prend sa source dans la Haute Vienne. Pour les sportifs en mer, Francis Maugard, médecin, poète et peintre né à Les Peintures a été un des premiers surfeurs français et a introduit le surf à Lacanau Océan.

Nous remercions Chantal et les organisateurs de cette belle sortie et bravo pour la sécurité. Tous les détails de la journée dans nos chroniques internes. Merci René.

Avec la participation de l'Association " O SOL DE PORTUGAL " le soleil du Portugal.

En attendant l'arrivée de l'association portugaise, nous nous retrouvons comme de coutume à 9h pour une marche de 10km au sud de Bordeaux, dans le parc forestier du Lac Bleu niché au milieu d'une forêt de pins. Nous sommes sur la voie de Tours qui file en direction du Barp. Nous tenons notre promesse d'être de retour avant 12h. Pendant ce temps, Mauricette et Sabine réquisitionnent une table qu'elles nappent de bleu pour y déposer leurs cocktails sans alcool . Comme convenu, à midi, nous accueillons un groupe de l'association " O sol de Portugal "qui se joint à nous pour la poursuite de la journée. Après le mot d'accueil , Alain nous lit un poème d'Antonio FEIJO qu'il a trouvé inscrit en Portugais sur l'Azuléjo de la fontaine du Concelho à Ponte de Lima lors de son pèlerinage avec Dany. Les trois co- présidentes , Isabel , Antonia et Marie-Claude présentent leur association qui a pour but , entre autre, de promouvoir le patrimoine et valoriser la culture portugaise. Le buffet fut garni de succulentes choses tant et si bien que nous avons eu peine à toucher au pique-nique tiré du sac. Merci à toutes les petites mains qui ont si bien travaillé pour un moment de convivialité. Merci à Jacques mari de Cidalia, trait d'union entre l'association jacquaire de Gradignan et l'association portugaise dont ils sont une cheville ouvrière.

En début d'après-midi, nous partons pour une marche de 8km menée par André en direction du Lac Vert et de Canéjan cette fois-ci. L'association O Sol de Portugal, fait, avec nous, ce bout de chemin passionnant en intervenant plusieurs fois. Cette année célèbre le 50ème anniversaire de la révolution du 25 avril 1974. Ce fut un grand moment de bonheur qui a permis à la plupart d'entre nous de mieux connaître l'histoire de cette révolution qui a mis fin au régime dictatorial de Salazar et de son successeur. C'est ainsi que nous avons découvert ou redécouvert les difficiles conditions de vie des 9 millions d'habitants qui ont contraint 1 million d'entre eux, (rien que ça!) de quitter leur patrie pour rejoindre la France, tant leurs conditions de vie étaient difficiles. C'est que, pour le régime portugais, il fallait bien entretenir les guerres de colonisation au prix fort, celui des armes et celui des hommes sur les fronts. Quant aux femmes.... La révolution dite " "des œillets"", ces fleurs que les soldats d'une armée initiatrice de ce mouvement avaient mis au bout du canon de leur fusil, aurait pu s'appeler la révolution "des cigarettes!" Mais ceci est une autre histoire.

Céleste Caeiro qui travaillait dans un restaurant de la rue Braamcamp de Lisbonne portait des oeillets qui auraient dû être offerts ce jour là aux clients du restaurant. Dans la rue , la révolution grondait. Un soldat lui réclama une cigarette. Elle n'avait que des fleurs d'oeillets qu'elle commença à distribuer aux soldats. Cette fleur est devenue le symbole de la révolution du 25 avril 1974. Et Céleste, une grande dame... Et rappelons que l'association est présidée par des femmes depuis 40 ans. Bref, ce fut un moment d'excellence que ces ambassadrices ont fait l'honneur de nous faire partager: leur magnifique histoire avec le jeu classique mais ô combien instructif des questions-réponses de la part de femmes fières de leur origine et désirant que ce moment d'histoire de leur pays se perpétue dans le souvenir de toutes et de tous.
Un grand merci à la quarantaine de participants qui ont tous eu un rôle à jouer dans la réussite de cette journée.
Peut-être ferons nous ensemble un bout de chemin sur le Camino Francès. Il n'y a plus qu'à s'aider du foulard remis par notre président Raymond à Isabel pour connaître les étapes. Pour notre part, nous approfondirons l'histoire et le rôle de l'association grâce au livre écrit par " O SOL DE PORTUGAL " dont le titre est : Une route culturelle à découvrir, retour sur une itinérance de 40 ans.

Annie Bernard et Gérard Chauvier

Garder une trace de cette magnifique journée : reportage vidéo de René dans nos chroniques interne

A l'occasion des jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, la Fédération Française de Randonnée Pédestre (FFRP) labellisée " Terres de jeux 2024 " a organisé la Grande Randonnée vers Paris, depuis les villes recevant la flamme olympique. En Gironde, la FFRP Gironde a proposé de parcourir à pied deux tronçons des GR655 et GR654 ouest qui supportent les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, respectivement la voie de Tours et la voie de Vézelay. Dès le début mars, ce fût une première pour notre association, de faire le chemin à l'envers. Tout d'abord le 9 mars, entre Bazas et Pondaurat, puis le 10 mars, entre La-Réole et Monségur, une trentaine de nos marcheurs ont accompagné les ambassadeurs de la FFR, à qui nous avons confié nos couleurs pour qu'elles flottent au vent jusqu'à Paris.

Un peu plus tard, le 19 mars, notre association à pris part à la première étape du parcours sur le GR 655, au départ Bordeaux et jusqu'à Cubzac-les-Ponts. Encore une occasion pour nos trente marcheurs de montrer les couleurs jacquaires des aquitains. Tous les ambassadeurs convergent désormais vers la capitale et sont attendus le 10 mai 2024 par le Président du Comité d'organisation des Jeux Olympiques de Paris-2024.

Peu importante la distance et le temps , la devise de Pierre de Coubertin a été honorée une nouvelle fois. Soyez vigilants, vous trouverez un reportage détaillé dans le prochain N° du bulletin Notre Chemin.

Ce matin du 23 mars, les 39 participants sont accueillis par nos gentilles organisatrices Michelle, Marie-Christine et Josy, pour une mise en jambes de quelques kilomètres. Partis de la chapelle, le groupe s'est dirigé vers le quai du Priourat où sont implantés les chais des négociants, chers à notre ami Bruno qui avait établi son bureau dans l'un d'eux. C'est en longeant le bord de la Dordogne que le groupe à retrouvé la chapelle. Le temps de se restaurer, le groupe est reparti vers d'autres horizons, dont celui des palus de Condat, une partie tres sauvage permettant à la rivière de prendre ses aises si besoin.

Ce fut l'occasion d'admirer différents points de vue dont le parc du château Videlot, propriété de la famille Moueix, très connue dans le Libournais. Après la pause méridienne, nos organisatrices ont confié le groupe aux bons soins de Monsieur BECQUET, pour une visite commentée de la chapelle totalement restaurée. Je vous invite à consulter nos chroniques internes pour découvrir le savoir faire des compagnons et la pertinence des images de notre ami Osito, de retour aux manettes.

Merci à tous les acteurs de cette journée, sèche et ensoleillée.

A l'heure dite, 27 marcheurs prennent le départ d'une belle balade de 11 km, par une route facile qui nous mène vers Lestrille, le lac de Larquey, Fonvideau et Pédrigail. En fin de parcours nous rencontrons l'imposant château du Grand Puch et celui du Petit Puch joliment rénové. Nous terminons notre marche par une petite route agréable avant de déguster le pique-nique avantageusement complété par boisons et amuse-bouche apportés gracieusement par Josy.

Comme il se doit, suite à une pause méridienne bien roborative, une balade digestive s'impose pour les désormais 29 participants. Sur des routes calmes, vallonnées parfois et entourées de bois et de vignes, nous parcourons les 7 km du trajet en empruntant de nombreux talus où s'accrochent des orchidées. Au loin nous laissons le château de Fages pour revenir à l'église, notre point de départ.

Un grand merci à Marie-Christine, Michelle, Josy et Xavier pour l'organisation de cette journée. Un bravo supplémentaire à Michelle pour sa première réalisation. Ne ratez pas cette première, très bientôt sur vos écrans.